Le Parlement discute actuellement d’un projet de loi, qui sera soumis au vote de l’Assemblée nationale début décembre, dont beaucoup savent qu’il ne résoudra en rien l’épineuse question des migrations.
S’il est un lieu où la frontière de l’Europe semble aujourd’hui évidente c’est bien en Méditerranée. Frontière physique, entre ses deux rives, la Méditerranée est une fin clairement délimitée pour l’Europe, géographique comme politique.
L’espace méditerranéen fait l’objet d’attentions diverses selon les Etats européens, et malheureusement trop souvent réduites à la question des migrations, surtout illégales, au détriment des autres problématiques.
Bien des personnalités éminentes – au premier rang desquelles, lors de ses obsèques, le Président Emmanuel Macron, et l’ami de tous les combats et de tous les instants que fut pour elle François Bayrou – ont évoqué avec pertinence et affection non seulement l’action publique de Marielle mais aussi l’importance de son engagement très précoce…
« Monsieur le Président, quel rôle doit jouer l’Europe dans des pays dont les régimes sont mis en cause par les peuples, mais dont les dirigeants restent sourds aux appels réitérés à plus de démocratie, à de vraies réformes structurelles et à un développement plus juste ? Voilà la question qui nous est posée ! Il y a pour moi une première réponse…
Le 14 juillet 2015, lorsqu’est signé à Vienne l’accord sur le nucléaire iranien, les pays du Conseil de sécurité de l’ONU ainsi que l’Allemagne (le
« En Syrie, ne concédons pas au « Poutinisme » international qu’il a gagné la bataille des idées »
Il y a deux ans jour pour jour, dans la nuit du 6 au 7 août 2014, l’État islamique (EI) s’emparait de Qaraqosh, principale ville chrétienne d’Irak, située dans la plaine de Ninive, après avoir pris possession de la grande ville voisine de Mossoul…